L'inde, deuxième pays le plus peuplé de notre planète, est un pays très diversifié sur le plan ethnique, linguistique et religieux.
Malgré certains problèmes comme la pauvreté et l'analphabétisme, l'Inde constitue, avec la Chine, la source la plus importante de la demande en or mondiale.
En effet, en Inde, l'or fait partie de la culture et des traditions religieuses indiennes.
Sa population détient bien plus d'or que n'importe quel autre pays ou institution, avec 11% du stock mondial soit plus de 18 000 tonnes (valeur estimée à de plus de 950 milliards de dollars).
La plupart des ménages indiens protègent leurs économies sous forme, principalement, de bijoux et autres avoirs en or. Même en période de crise, ils ne veulent pas s'en séparer car l'or leur permet d'accroître leur capital social et même religieux.
Les bijoux portés sont des signes extérieurs du statut social mais aussi de richesse.
Lors d'un mariage, par exemple, les femmes indiennes exhibent de nombreux bijoux en or : plus il y en a, meilleur sera le statut social.
La mariée, quant à elle, elle doit en être littéralement couverte de la tête aux pieds.
L'or est synonyme de prospérité et de bon augure.
Le peuple indien, très superstitieux, croit au pouvoir de guérison de l'or.
La médecine ayurvédique (médecine traditionnelle originaire de l'Inde) recommande la poudre d'or et des pilules à base d'or pour soigner certaines affections.
En faisant quelques recherches, votre rédacteur est tombé sur une vidéo très sympa d'une exposition qui lui a rappelé sa jeunesse...
En effet, Saint Seiya a... 30 ans.
A cette occasion, une exposition a été organisée, en juin dernier, dans le quartier d'Akihabara à Tokyo.
Cette expo, appelée "The Complete Works of Saint Seiya", fut consacrée à une rétrospective complète de l'oeuvre de Masami Kurumada.
La vidéo, que vous pourrez consulter ci-dessous, nous montre les répliques en taille réelle des 12 armures dorées de la série manga animée...
Superbe travail et de très belles images, même s'il ne s'agit pas ici de vrai or...
Saint Seiya, également appelé Les Chevaliers du Zodiaque en français, est un manga de Masami Kurumada publié pour la première fois en janvier 1986.
Il compte 28 volumes.
L'adaptation en série télévisée d'animation, par la Toei animation, reprend les 18 premiers volumes du manga sous la forme de 114 épisodes.
En télévision, la série fut l'un des programmes phares de l'émission jeunesse "Club Dorothée" sur TF1 entre 1988 et 1997.
L'histoire de Saint Seiya ?
Dans la mythologie grecque, depuis la nuit des temps, lorsque les forces du Mal s'éveillent, des Chevaliers vêtus de leurs armures font leur apparition pour protéger la Terre.
On les appelle les Chevaliers d'Athéna. Athéna, la déesse, commande 88 chevaliers, chacun étant associé à une constellation.
Les Chevaliers sont regroupés en 3 castes : les Chevaliers de Bronze, les Chevaliers d'Argent et enfin les Chevaliers d'Or...
Les Chevaliers d'Or sont la caste la plus puissante des Chevaliers d'Athéna.
Il existe douze armures, chacune liée à une des douze constellations des signes du Zodiaque.
Ensembles, ils protègent le sanctuaire où réside Arès, le Grand Pope en habit rouge (personnage de fiction, apparu uniquement dans la version animée du manga).
Depuis ces premiers 114 épisodes officiels, de nombreuses oeuvres dérivées du manga original ont été publiées ou diffusées en télévision...
Six films d'animation ont également été réalisés et certains eurent même leurs heures de gloire dans les cinémas japonais et européens.
Parmi ceux-ci figure une aventure inédite "Saint Seiya, épisode G" concentrée sur les Chevaliers d'Or et leur combat contre les Titans.
L'orpailleur, appelé plus communément « chercheur d'or », recueille les paillettes d'or qui se trouvent dans le sable de certaines rivières, au moyen du lavage.
Cette technique est appelée « orpaillage ».
L'or se trouve principalement dans les plages de sables et graviers des rivières dites "aurifères" (contenant des particules d'or).
En raison de sa densité importante, il est possible aussi d'en rencontrer dans des marmites, anfractuosités rocheuses situées au fond du lit de la rivière.
Il se récupère sous forme de paillettes d'or plus ou moins grosses mélangées aux alluvions.
Poudre, paillettes, grains ou même, pour les chercheurs les plus chanceux, pépites d'or, peuvent donc être découvertes.
L'or des rivières provient de la désagrégation d'anciens filons de montagnes qui se sont érodés et dans lesquels le métal se trouvait à l'état cristallisé.
En Belgique, il est aussi possible de trouver de l'or, principalement dans les ruisseaux ardennais comme la Warchenne ou ceux du site du Ru des Fagnes en Haute-Ardenne.
On peut toujours découvrir de très belles paillettes mais en très faible quantité.
Elles sont, cependant de très bonne qualité et présentent une morphologie granuleuse qui leur donne une forme de micro pépite.
Par exemple, l'or de la Warchenne est constitué de jolis grains minuscules atteignant rarement le millimètre, roulés et non laminés.
Dans l'histoire de l'orpaillage belge, il eut deux périodes.
La première s'est étalée sur plusieurs siècles il y a 2500 ans, à l'époque des Celtes.
La deuxième ruée vers l'or belge a commencé en 1875 et s'est essoufflée vers 1920.
Depuis ce vendredi 16 septembre, une nouvelle œuvre d'art insolite du plasticien italien Maurizio Cattelan est exposée au musée Guggenheim à New-York.
Le très chic musée d'art moderne new-yorkais offre, en effet, l'accès à des toilettes en or à ses visiteurs.
Selon la conservatrice Katherine Brinson, l'artiste italien a réalisé une « expérience privée et individuelle »... « On peut y voir une critique mais aussi une vision idéaliste » a-t-elle expliqué.
Une expérience unique en effet. Que diriez-vous d'une petite pause pipi ultra bling bling pendant votre visite au musée ?
Les toilettes de Cattelan (œuvre intitulée « America ») incluent siège, cuvette et chasse d'eau opérationnels.
Les visiteurs peuvent donc s'y soulager puisqu'elles sont installées dans une pièce fermée et non au milieu d'une expo.
Le « petit endroit » est gardé par un vigile et non, cette fois, par Madame Pipi.
Et la conservatrice d'ajouter : «Après tout, c'est une œuvre qui évoque le fait d'offrir un accès et une opportunité à un public très large, même si c'est un objet très luxueux »,
Le prix de l'œuvre n'a pas été révélé mais histoire de pouvoir en imaginer le coût, le cours de l'or s'élève actuellement à environ 38.000 euros le lingot d'un kilo.
Artiste à controverse, Maurizio Cattalan est connu pour ses œuvres très visuelles, parfois polémiques, comme sa statue en cire (intitulée La Nona Ora) du Pape Jean Paul II frappé par une météorite ou encore de sa représentation d'Hitler (Him) en petit garçon priant agenouillé.
Le restaurant philippin Manilla Social Club, situé le quartier de Williamsburg à Brooklyn (New-York), a créé un donut de luxe recouvert d'or pour célébrer les dernières fêtes de fin d'année.
Une mousse d'ignames violets (UBE, une sorte de patate douce violette très prisée aux Philippines et qui entre dans la composition de nombreux desserts), une fine gelée au champagne, un glaçage au champagne Cristal (la cuvée emblématique de la maison Louis Roederer) et une couverture de feuilles d'or à 24 carats, voici donc la savoureuse composition de ce beignet peu ordinaire.
Ce fameux gâteau rond est devenu un véritable phénomène auprès d'une population assez fortunée, au point que le restaurant l'ait intégré, de façon permanente, à sa carte de desserts.
Pour savourer cette luxueuse et gourmande pâtisserie, il faudra, quand même, régler la somme de 100 dollars, l'équivalent d'environ 90 euros.
Bjorn DeLaCruz, chef de cuisine et co-propriétaire du Manilla Social Club vous parle, dans la vidéo ci-dessous, de sa création gastronomique à l'or 24 carats.
Votre rédacteur vous parlait, il y a peu, de Goldfinger, film culte d'espionnage de la saga des James Bond datant de 1964.
Dans ce film, apparaissait, entre autres une femme recouverte de peinture d'or....
Tout à fait par hasard, je suis « tombé » sur un clip vidéo de Baptiste Giabiconi qui ne s'est pas privé d'y puiser une certaine inspiration...
Baptiste Giabiconi, mannequin français à succès de 26 ans, est le petit chouchou de Karl Lagerfeld.
En 2012, il s'est lancé dans la chanson et a cartonné avec son premier album « Oxygen », dont les ventes ont dépassé les 50 000 exemplaires.
Son nouveau titre, qui est plutôt une reprise du tube de Donna Summer « Love to love you baby », remasterisée pour correspondre à des tonalités plus actuelles, devrait lui assurer un retour sur la scène musicale française.
Le curcuma est cette épice qui, à l'image du safran, donne une jolie teinte jaune dorée à tous vos petits plats ou pâtisseries. Il peut même colorer vos vêtements.
Principal ingrédient du curry (qui, faut-il le rappeler est un mélange d'épices), on le trouve généralement en poudre mais, à l'état naturel, c'est un rhizome, une racine
qui ressemble à du gingembre frais.
Le curcuma, réputé pour faciliter la digestion, a des effets anti-inflammatoires et antioxydants, réduit le taux de cholestérol et est utilisée en prévention des maladies cardio-vasculaires.
Epice peu onéreuse, il faut la choisir de préférence très colorée et avec une odeur assez forte.
Pour obtenir une couleur bien jaune, bien dorée à certains de vos mets, souvent quelques pincées de curcuma suffisent.
Comme démonstration, l'équipe d'Or Cash Belgique vous propose de passer en cuisine et de réaliser une délicieuse et gourmande recette :
le « Lait d'Or » .
Pour commencer, il vous faut préparer une « pâte de curcuma » dont les ingrédients sont simples : 1/4 de tasse de curcuma, 1/2 tasse d'eau et 1/2 cuillère à thé de poivre noir fraîchement moulu.
Mélangez tous les ingrédients dans une petite casserole. À feu moyen, remuez le tout constamment, durant 3 minutes, pour que le mélange devienne une pâte épaisse.
Laisser ensuite refroidir la pâte et conserver la dans un petit pot hermétique au réfrigérateur. Cette pâte pourra vous servir pour réaliser plusieurs fois votre « Lait d'Or ».
Passons à la confection du « Lait d'Or ».
Vous aurez besoin d'une tasse de lait d'amande (ou de lait de coco), une cuillère à café d'huile de coco, une cuillère à thé de gingembre frais finement râpé, une pincée de cardamome moulue,
1/4 à 1/3 de cuillère à café de pâte de curcuma selon votre goût et une pincée de poudre de vanille.
La technique est simple : mélangez tous les ingrédients dans une casserole et chauffez l'ensemble à feu moyen en remuant constamment (attention, ne faites pas bouillir la préparation). Ajoutez finalement du sirop d'érable (ou du miel) pour la touche sucrée.
Bonne dégustation de votre « Lait d'Or ».
Le comité organisateur des Jeux Olympiques 2016 (qui se dérouleront au Brésil du 5 au 21 août) a dévoilé, il y a peu, le design des médailles d'or, d'argent et de bronze qui seront remises aux futurs médaillés olympiques et paralympiques.
Dessinées sur le thème du renouveau («les nouveaux genres, les nouveaux héros et le pouvoir de transformation du sport»), elles ont été fabriquées à partir de matériaux recyclés.
Même le ruban qui permet de les passer autour du cou est fabriqué à 50% avec le plastique de bouteilles recyclées.
Une petite vidéo (voir ci-dessous) a été publiée sur le compte Twitter officiel des Jeux de Rio afin de montrer au public comment elles sont fabriquées.
En 2012, à Londres, ce furent les Etats-Unis qui terminèrent en tête des jeux avec 104 médailles (dont 46 médailles d'or).
La Belgique ne fut pas en reste puisque 3 médailles furent rapportées au pays : une en argent (Lionel Cox au tir) et deux en bronze (Charline Van Snick en judo et Evi Van Acker en voile).
Pour cette édition 2016, le Comité olympique et interfédéral belge a annoncé le barème des primes accordées aux médaillés olympiques et paralympiques.
Ainsi, pour les sports individuels, une médaille d'or rapportera 50.000 euros (bruts), une en argent 30.000 euros et une médaille de bronze 20.000 euros.
Pour les sports collectifs, la prime par joueur est de 12.500 euros pour une médaille d'or (7500 pour l'argent et 5000 pour le bronze).
« L'agent secret 007 est chargé d'enquêter sur les revenus d'Auric Goldfinger. La banque d'Angleterre a découvert qu'il entreposait d'énormes quantités d'or, mais s'inquiète de ne pas savoir dans quel but. »
Voilà comment débute l'intrigue de Goldfinger, un film d'espionnage culte, un épisode de la saga James Bond datant de 1964. En plus d'une intrigue intéressante, le film contient un très grand nombre de scènes cultes, à commencer par la scène de pré-générique dans lequel apparaît... une femme en or.
La femme en or, Jill Masterson interprétée par Shirley Eaton, est devenue un mythe.... et pourtant, elle n'eut qu'un tout petit rôle dans le début du film. En effet, dans cette célèbre scène, Goldfinger recouvre entièrement le corps de Jill, sa secrétaire, de peinture d'or, la tuant par asphyxie, la peau ne respirant plus, afin de la punir en raison de sa trahison.
Il fallut deux heures pour peindre Shirley Eaton en or, mais bien plus pour ôter la peinture. Elle subit d'abord un sérieux nettoyage, puis fut contrainte à prendre de nombreux bains turcs afin que la transpiration la débarrasse du maquillage doré incrusté dans les pores de sa peau.
Shirley Eaton se fit également peindre en or une seconde fois mais pour un shooting du magazine Life. C'est à partir de là que le portrait de la femme en or devint réellement mythique, et ce, avant même la sortie du film.
En réalité, dans le film, il y eut deux femmes en or... Dans le générique d'ouverture, des extraits des trois premiers James Bond sont projetés sur le corps enduit de peinture dorée de Margaret Nolan.
Toujours recherché pour la richesse qu'il représente, l'or et l'argent, des métaux nobles et rares, se trouvent uniquement à l'état naturel.
Depuis la nuit des temps, l'Homme s'est toujours posé cette question : serait-il possible de fabriquer, artificiellement de l'or ou de l'argent.... ?
Ces « alchimistes » voulaient transformer des métaux vils, comme le plomb, en métaux nobles, comme l'argent ou l'or, grâce à des réactions chimiques.
L'alchimie est une « discipline qui recouvre un ensemble de pratiques et de spéculations en rapport avec la transmutation des métaux ». Les premières pensées et pratiques de type alchimique sont apparues en Chine et en Grèce (par le philosophe Théophraste) dès le 4e siècle av. J.-C.
On sait aujourd'hui que c'est théoriquement irréalisable avec une simple réaction chimique car, en réalité, il faudrait agir au sein même des noyaux d'atomes. Pour transformer un atome de plomb en atome d'or, il faudrait casser son noyau pour en réarranger l'assemblage de protons et de neutrons constituant les métaux. Spécifiquement parlant, il est possible cependant, grâce à une quantité astronomique d'énergie, de transformer du mercure en or. Le laboratoire d'Oak Ridge, aux États-Unis, y est parvenu avec des quantités néanmoins trop infimes pour être exploitables et rentables.
Pour vous expliquer tout ça de manière simple et ludique, une animation vidéo de la série Kesako ? a été produite par Unisciel, un groupement d'intérêt scientifique regroupant une trentaine d'établissements d'enseignement supérieur français.
Kézako ? est une série vidéo qui répond aux questions de science que tout le monde se pose. Sur un format court et détendu, de quelques minutes, la série aborde les principes et les applications de la science, de la vie et de la terre. Vous pouvez retrouver tous les épisodes sur www.kezako.unisciel.fr
D'autres nouvelles et informations sur l'or sont disponibles dans les pages suivantes.
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